Neruda Film chilien, argentin, français, espagnol de Pablo Larraín - 1h 48 - avec
Luis Gnecco, Gael García Bernal, Mercedes Morán Hors des sentiers du biopic classique, le futur Nobel Pablo Neruda devient
le héros d'une formidable course-poursuite dans le Chili de la dictature. (Le
Point) Un poème visuel qui prend sa source dans la puissance artistique et
politique de Pablo Neruda. (L'Humanité) Quand le plus grand cinéaste chilien de tous les temps rencontre le plus
grand poète chilien de tous les temps, qu'est-ce que cela donne ? Un film
étrange et magnifique. [Portrait de l'auteur du Canto General,
chef-d’œuvre de la poésie universelle] (Le Monde) L'auteur de No signe un anti-biopic engagé, épique et visuellement
éblouissant. (Télérama) Une œuvre à la fois charmeuse et enthousiasmante. (Culturopoing) Mercredi 8, vendredi 10, dimanche 12, mardi 14 à 20 h 30 |
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Mémoires du sous-développement Film cubain de Tomas Gutierrez Alea – 1h 37 - avec Sergio Corrieri, Omar
Valdés, Rene de la Cruz (1968) D'une réelle originalité de style, Mémoires du sous-développement est
le chef d'œuvre du cinéma cubain et le film le plus célèbre de Tomas Guttierez
Alea. (àVoiràLire) Présenté à Cannes en mai dernier, restauré par le World Film Project de
Martin Scorsese et George Lucas, le film apparait aujourd'hui dans sa beauté
originelle. (Le Monde) Derrière un titre trompeur, qui pourrait être celui d'un documentaire à
vocation sociologique, se cache un des longs métrages de fiction les plus
célèbres du cinéma latino-américain. L'errance existentielle et amoureuse de
Sergio, un intellectuel hédoniste et velléitaire, dans les rues de La Havane,
est le prétexte à une réflexion sur le devenir d'une société qui s'est fixée un
programme ambitieux, la révolution rien de moins. Un chef d'œuvre au décor
solaire et indolent. (Critikat) Comédie de lucidité et de l'enthousiasme, tragédie de la fatigue et de
l'action, ce splendide film cubain des années 60 nous abandonne à une liberté
indécidable. (Les Inrocks)
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Un monstre à mille têtes Film mexicain de Rodrigo Plá - 1h 15 - avec Jana Raluy, Sebastian Aguirre
Boëda, Hugo Albores Evoquant moins le film fantastique de dragons qu'un trombinoscope
professionnel, le titre annonce la critique méthodique d'une multinationale.
Cette course folle jusqu'au sommet de la pyramide se déroule dans un suspense
haletant, ramassé dans l'unité de temps d'une journée de travail.
(Positif) Repéré pour La Zona, propriété privée, Rodrigo Pla mélange
adroitement le thriller et le commentaire social, gagnant sur les deux
tableaux. (Les Inrocks) Un parti pris esthétique très fort, un sujet universel, une rage qui fait
mouche, une touche d'humour noir... toute l'affaire est enlevée en une heure et
quatorze minutes, mais bien frappées, qui en donnent pour son
argent. (Le Monde) Une expérience cinématographique et sociale hors du commun. (Médiapart) Samedi 11 à 17h et lundi 13 à 20h30 |
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Citoyen d'honneur Film argentin de Mariano Cohn, Gastón Duprat - 1h 57 - avec Oscar Martinez,
Dady Brieva, Andrea Frigerio – Sortie nationale Les réalisateurs argentins de L'Homme
d'à côté nous ont concocté une nouvelle comédie, au cynisme réjouissant. Un
régal de drôlerie et de finesse d'écriture. (Abus de Ciné) Inclassable ! Une allusion ironique au fait que le vénérable jury du
Nobel a toujours ignoré cet immense auteur qu'était José Luis Borgès. C'est
avec un plaisir sans partage qu'on se laisse embarquer dans cet univers
déboussolant. (La Gazette d'Utopia) Une féroce satire sociale. Un réjouissant jeu de massacre qui ressemble par
moments aux meilleurs films de Carlos Saura. (Angle(s) de
vue-Venise 2016-) On l’a tous apprécié pour la
peinture de la société, pour le personnage de l’écrivain, pour les situations,
pour la montée des périls… A voir sans hésiter. (Huit et Demi) Samedi 11
à 20h30 |
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